Ex-infirmière, Pascaline, 34 ans, nous raconte comment elle est devenue rédactrice Web et son quotidien d’équilibriste, entre son job et ses 4 enfants.
“Je me levais le matin sans savoir ce que j’allais bien pouvoir faire de la journée”. Après le burn-out, le bore-out : ingénieure depuis 6 ans, Claire glisse petit à petit de l’ennui à la déprime. Jusqu’à sa grossesse, meilleur déclic inventé pour la reconversion professionnelle !
Elle a travaillé 20 ans dans le domaine des ressources humaines avant d’avoir des enfants… et de nouvelles envies. Comme créer une boutique en ligne pour habiller les kids !
Plonger ensemble dans le grand bain de l’entrepreneuriat ? C’est l’histoire d’Anne-Catherine et Olivier, qui à 51 et 60 ans ont décidé de quitter leur vie parisienne pour monter leur agence de communication sur la Presque-Île de Guérande.
“Mon métier consistait à vendre le plus de produits possibles pour faire déborder les placards de mes clientes !” Après la douche froide, le grand bain de la reconversion professionnelle…
Prêt-à-porter, automobile de luxe, agence matrimoniale… pendant 10 ans, Anne-Sophie passe de boulot en boulot. Quelques années et une formation dans le digital plus tard, la jeune femme de 30 ans lance son agence de webdesign.
S’aventurer sur le chemin de la reconversion professionnelle à 40 ans, c’est possible ! La preuve avec Caroline, qui a donné (quoi de plus logique pour une brocanteuse en ligne ?) une nouvelle vie à son CV ! Directrice commerciale d’une boîte de prêt-à-porter à Paris, cette passionnée de chine, de vintage et de côte ouest a tout plaqué…
Bonjour, je suis Florence, cofondatrice des chèvres dans le Larzac avec mon acolyte Caroline, rédacteur web freelance… et reconvertie récidiviste ! Pas de grosse sortie de route à mon actif, mais deux petits pas de côté qui ont changé la donne et le paysage. Je vous raconte ? JE NE…
Maman et solo et entrepreneur, une combinaison compatible ! La preuve avec le témoignage de Marina, cofondatrice de Noö, “le doctolib du parent solo”.
“J’étais une petite fille timide qui avait envie de faire des trucs grands”. Après un master en école de commerce et un an de salariat pour faire ses armes, Sarah se jette à l’eau à l’eau…